vendredi 25 juillet 2008

Fermeture estivale


Scopitone du bar de la plage

Constance Verluca : Les Trois Copains

18 commentaires:

  1. Ah, mais je constate que nous avons des amis en commun !

    RépondreSupprimer
  2. Le problème avec vous, ma chère ichandrae-avec-un-i-minuscule, c'est que l'on ne sait jamais laquelle de vos langues il faut couper.
    J'opterai donc pour la dernière, qui a probablement dû tremper trop longtemps dans l'alcool d'épinards.

    Vous avez tout à fait raison, Fräulein CM. Mais comme vous pouvez le constater, nous partageons tout autant de contrariétés récurrentes.
    Fort heureusement, nos blogs respectifs sont des havres de paix.

    RépondreSupprimer
  3. Chère ichandrae-qui-a-sucé-un-clown, figurez-vous qu'il m'est arrivé, un soir d'égarement, d'embrasser une Bretonne. Croyez-moi, cela pèse nettement plus sur l'estomac qu'une vingtaine de crêpes ingurgitées d'affilée.

    Cela dit, profitez bien des jeux olympiques... et entraînez-vous dès maintenant à courir vite, surtout, et pas uniquement pour votre blogging run.

    RépondreSupprimer
  4. Je vois que ichandrae a déjà gagné des médailles d’or pour le « commentaire supprimé run ».

    RépondreSupprimer
  5. S'il est une chose qui m'exaspère encore plus que les copiés-collés de Wikipédia, c'est bien la suppression intempestive de commentaires qui annihile par conséquent l'effet humoristique de ma répartie hautement spirituelle.

    C'est pourquoi, dans un souci d'équité à l'égard de mes lecteurs vacanciers, je rétablis ci-dessous les éléments manquants de ce puzzle épistolaire fleuri et teinté d'amour :


    > 30 juillet 2008 23:25

    Ah maintenant je me sens à l'aise.
    Coupez ma langue dans le bistrot! Quel horreur. Je suis contente que nous sommes libérés.
    Ew- maintenant qu'est-ce que je voulais dire. ew- jai oublié! ha ha.

    à mon prochain blogging run.

    > 9 août 2008 23:22

    alors, maintenant je vois!
    Jarod et Fleur sont tombés amoureux!
    C'est l'amour, c'est la guerre.

    haaaaaaaaaaaaaaahaaaaaaaaaaa!!!!!!!!

    > 9 août 2008 23:25

    en anglais il ya un petit vers-
    Jarod and Fleur
    sitting in a tree
    k i s s i n g.

    ha ha ha ha ha ha ha ha ha!

    > 10 août 2008 20:55

    ...les bonnes réponses.
    bonne journée
    hugs.
    il faut pousser les vignes dans le bistrot comme ca on peut faire notre propre vin pour célébrer la vie en rose.

    au vingtième du mois.

    > 10 août 2008 21:19

    et aussi quand on donne les cadeaux de crepes de dentelles bien ça c'est l'amour et pas la haine parceque si on a faimon peut manger d'autre nourriture on n'a pas besoin de manger les crepes-les crepe de dentelles ça c'est le souvenir de l'amour comme un baiser sur le vent printanier.

    oui il s'agit de l'amour et pas la haine. ha ha

    ichandrae avec un i minuscule

    à mon prochain blogging run.
    Je vais regarder les olympiques sur un grand écran cette après-midi.



    Inutile de me remercier.

    RépondreSupprimer
  6. Visiblement, une autre personne utilise mon pseudo que je croyais pourtant très original et unique....
    Cette personne doit en plus avoir peu d'imagination pour écrire à chaque fois la même chose....
    Si c'est pas de l'humour ça...!!

    RépondreSupprimer
  7. Je pense qu'il est grand temps de proposer à Casimir de chanter "le curé de Camaret" ...!!?? Au point où nous en sommes ....

    RépondreSupprimer
  8. Ah, Kalli, après J.P. Raffarin, vous êtes indéniablement la preuve vivante que l'on peut à la fois habiter le Poitou et avoir de l'humour.

    Bienvenue dans le Bistrot des Epinards ; je vous y réserve un tabouret de choix.

    Mais seulement si vous n'êtes pas sage, bien entendu.

    RépondreSupprimer
  9. Je tiens ce soir à présenter publiquement mes excuses à une sympathique cliente des Epinards, et rétablir la stricte vérité :

    ichandrae n'a JAMAIS sucé de clowns.

    Un acrobate ou un jongleur, tout au plus.

    RépondreSupprimer
  10. Tiens, je n'avais pas vu le retour des commentaires, eh ben, Ichandrae, je vous octroie aussi la médaille de la plus mauvaise interprétation d'un texte (ou d'un échange) après celui d'askolovitch, bhl et val voyant partout des antisémites même dans les chiffons à dépoussiérer les couillons! mais je vous pardonne, et vous assure que si j'adore embêter jarod c'est que je suis maso (car il renvoie la balle aussitôt, et dans le nez s'il vous plaît!): mais je sens (même les paranos comme moi se font aussi de vrais ennemis qui ne se privent pas de flanquer des répliques coups de poings) que nous avons assez joué, et que le silence prudent s'impose en effet.
    En guise d'au revoir, vous envoie un effet d'embruns virtuels, qq centimètres de sable à la manière de paris-plages (bof) et vous souhaite donc une prompte rentrée, puisque vous détestez tous les vacances, si j'ai bien compris? (mais jarod va m'expliquer combien je me trompe, sûrement?)
    bises sobres
    Fleur/Isabelle

    RépondreSupprimer
  11. Jarod, je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais je pense qu’un changement de nom pour votre bistrot s’impose. Je propose : "Règlement d’épinards à OK Corral".

    RépondreSupprimer
  12. Mais non, cm: juste une série de suicides virtuels en direct de la Toile! Trop modernes nous sommes, n'avons pas déjà depuis longtemps dit "Adieu, Waine, cows, pigs and westerns!"?
    Août est apparemment aux pétages de plomb (aïe, mon aile!), mais il y a tjs quelques heureux sages pour étudier cela en entomologiste patenté, rafraîchi par une longue vodka colonnel...

    RépondreSupprimer
  13. Fräulein CM, sachez d'une part que je vous suis éternellement reconnaissant de me faire rire de la sorte, et que d'autre part j'apprécie grandement votre implication dans le développement marketing des Epinards.
    Je reste toutefois fermement persuadé que "tata" résume nettement mieux l'actuelle tendance "punk" de ces lieux.

    Fleur, éblouissante médaillée d'argent de la course à mon ulcère virtuel, je vous assure que bien que mon intelligence limitée par mes abus d'alcool ne me permette de comprendre qu'à peine un quart de vos commentaires alors que vous n'êtes même pas canadienne, je sais pertinemment que l'un de vos troubles obsessionnels consiste à tout bien ranger dans les petites cases de votre caboche chevelue, et je crains par conséquent devoir vous asséner une bien brutale révélation :
    Il n'y a que dans les albums de Martine et le journal intime des ouvriers français de la première moitié du vingtième siècle que la notion de vacances n'existe que pendant les mois de juillet et août.

    Après un tel aveu, j'attendrai quelques jours avant de vous révéler que les lecteurs de Télérama ne sont pas forcément des intellectuels.


    A présent que les préliminaires sont achevés, j'ai le plaisir de vous faire part de la réouverture exceptionnelle du Bistrot dès le mercredi 13 août.

    RépondreSupprimer
  14. Ai-je un précieux alibi et une bonne excuse si je vous dis que ma première poupée - offerte par mon grand-père quand j'avais 9 mois (je commençais à marcher et à parler, oui, à parler, hélas pour mes contemporains plus tard, alors imaginez, c'est dur de ralentir le débit aujourd'hui, j'étais programmée pour parler, c'est sûr!), une souriante belle plante plus grande que moi et qui marchait aussi, une jolie rousse en plastique (avec plastique de jolie rousse) et à boucles (elle avait certes plus de cheveux que moi à l'époque) avec collier iridescent et robe vert pâle - s'appelait Martine (nom de série du fabricant?)...
    Alors s'il vous plaît, de grâce, ne m'ôtez pas les illusions sur Martine, attaquez-vous si vous le voulez au reste, à votre hebdo détesté et à la littérature ou ce que vous voudrez d'autre, mais laissez-moi Martine! (sur certaines photos, je ressemble, à 4ou 6 ans aux dessins de la brunette, et une de mes cousines bretonnes, encore enfant, ressemble trait pour trait à l'époque de Martine aux cheveux longs et au long cou dégagé par la brise... n'attaquez pas mes gènes, SOS, lecteurs, on veut détruire une partie de ce que je suis!

    Et là, je vous assure, aucun produit prohibé voire autorisé avec réserve ne m'a (pas encore du moins) été administré: j'attends vos supputations de camisole chimique pleine d'imagination pour comprendre ce qu'on a peut-être voulu me faire avaler à l'insu d'mon plein gré!
    à vot' santé! (burp)

    Fleur (d'anis)

    RépondreSupprimer
  15. Quand j'étais très jeune, j'ai beaucoup joué avec une poupée que j'appelais Bobby.
    J'ai d'ailleurs appelé Bobby toute chose articulée qui me tombait sous la main pendant de longues années, en souvenir de l'adorable petit chien Bobby dont je raffolais des aventures illustrées étalant sa naïveté sans bornes.
    Je me souviens clairement avoir ressenti un immense plaisir à lui faire fondre ses petits pieds faits de plastique moulé sur la vitre brûlante d'un vieux poêle à bois pendant que mes géniteurs avaient le dos tourné.
    Hélas, de nos jours, de tels moments de bonheur sont impossibles à revivre avec de simples convecteurs électriques.

    RépondreSupprimer
  16. Ah... Jarod, Jarod... Nous n'avons pas les mêmes valeurs (à lire sur le ton publicitaire et snob, svp)!
    Et avez-vous donc aussi arraché les ailes des pauvres mouches, torturé une abeille coincée dans votre tartine de confiture de coings ou noyé par jeu des petits chats sans défense - comme je l'ai vu faire parfois dans mon jeune temps? je vous préviens, si je vous vois opérer ces horreurs, je prendrai comme alors le bâton de Fantômette sans sa cape et irai vous casser l'échine de colère... (j'ai préféré "casser" pour éviter le verbe habituel, sinon une Canadienne de plastic explosif pourrait bien encore imaginer des choses inavouables!!!)

    Enfin, contente de vous lire en grande forme!

    RépondreSupprimer
  17. Rassurez-vous, Bobby, je n'ai jamais rien fait de tel, et vous pouvez d'ores et déjà arrêter d'empoigner cette broche de barbecue qui vous fait office d'épingle à cheveux.
    Je ne torture que les êtres humains, voyez-vous.

    Quant à la "grande forme" dont vous parlez, elle est probablement due à ces vacances qui pointent enfin le bout de leur appendice nasal, dont je serai l'indélogeable goutte suspendue durant quelques semaines.

    RépondreSupprimer
  18. Bon rhume, alors, et je vous promets de ne pas empoigner de mouchoir pour vos vacances!

    RépondreSupprimer